Une brève histoire de Lavaur, mais pas que…

Vue aérienne de la cathédrale de Reims

      En 1090, Le rabbin Shelomo Irashi crée la secte catholique à Reims, afin d’obliger les rois à venir s’y faire couronner et sacrer rois en leur cathédrale, dont le nom vient de cathèdre qui signifie siège (du pouvoir). A partir de là, c’est la faction des juifs religieux qui gouverne le pays, lequel ne s’appelle pas encore France, puisque chacun fait partie d’une province, telle la Bourgogne, par exemple.

      1095, départ de la première croisade.

      1099, prise de Jérusalem.

      1150, des croisés influencés par des juifs commerçants, ramènent le catharisme à Lavaur, très riche à l’époque, notamment grâce à la cocagne du pastel, à la soie, à son port sur l’Agout proche du Tarn. Or, le catharisme est juste une bonne idée pour ne pas payer la dîme aux catholiques. Les cathares se disent en relation directe avec Dieu ; et affirment que leur propre sacrement, le consolamentum, leur suffit et rend inutile l’entretien d’un clergé.

     C’est un succès croissant, ce que ne peut tolérer la secte qui perd beaucoup de revenus ; alors en 1208, l’évêque de Reims commence sa croisade des albigeois pour les défendre. Le dernier supplice du feu sera celui de Montségur en 1244, il fera 180 victimes.

      Le massacre de Lavaur a lieu en 1211 : 400 brûlés vifs sur un bûcher qui se voit à 30 kilomètres à la ronde. 81 chevaliers tués à l’épée, dame Guiraude, co-seigneure du village est violée et jetée enceinte dans un puits avec des pierres par-dessus. Maître Amaury est décapité. C’est ainsi que la "civilisation franque" au service des religieux juifs s’est imposée en Languedoc ! Et c’est pas fini ! Il fallait désormais payer la dîme et autres impôts en deniers, la monnaie de l’empire romain dont on employait encore la langue pour dire la messe. Quand on n’en avait pas, de ces deniers, il fallait céder ses biens et on en voit encore les traces sur les cartes : En Roudil, En Germier, En Calmettes, En Lance, etc. La pauvreté du peuple a été atroce. Cela s'est terminé avec la peste de 1347 à 1348. Pff, ça fait un très très long et pénible pillage.

      Dans des conditions d’hygiène précaire, la peste bubonique s’est vite répandue et a fini le travail de sape des religieux. 60 % de la population a disparu à Cordes Sur Ciel, par exemple. Certains quartiers de Toulouse ont été rayés de la carte. Bien des gens en étaient réduits à mendier, voire à vagabonder en bandes armées qu’on appelait les routiers. On ne pouvait plus sortir des remparts sans se faire accompagner par des gens d’armes, sinon, c’était "la bourse ou la vie".

      Ensuite, la lutte d’intérêts s’est transformée en guerres entre catholiques et protestants bien gardés par leurs pasteurs. A ce sujet, je vous signale qu’en sumérien et Abram en était un, mais sémite, le mot Adam veut dire bétail, troupeau, animaux…

      Aujourd’hui, on en est au capitalisme, secte toujours basée sur le pillage du fric et matérialiste à fond, dont "la main invisible" régule très mal le marché...